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Le costume historique
18 octobre 2014

Portraits de personnalités barbues


L'évolution de la mode de la barbe se saisit bien lorsque sont juxtaposés les portraits d'une personne réalisés à différents moments de sa vie. C'est ce que je propose de faire dans cet article. Dans la mesure du possible, j'ai tenté de donner un exemple pour chaque décennie.

 

Années 1510 /1520

François Ier, roi de France. A son avènement en 1515, le roi François, âgé de vingt ans est un jeune prince imberbe. Quelques années plus tard, la mode de la barbe se répand dans les cours italiennes, puis gagne la cour de France. Sur son portrait de Chantilly peint à la fin des années 1510, le jeune roi arbore une legère petite barbe. Il faut pourtant attendre 1521 environ, pour que le roi porte vraisemblablement définitivement la barbe1. Dix ans plus tard, sur le portraits de Jean et François Clouet, le roi la porte fournie. 

francoisv3

 

Années 1530 /1540

Jean de Taix, seigneur de Taix. Dans les années 1530, ce jeune noble de la cour de France porte une barbe carrée. Dix ans plus tard, devenu colonel général de l'infanterie française, il porte la barbe à deux pointes (les cheveux sont coupés courts également).

Jean seigneur de Thiais

 

Années 1540 /1550

Antoine de Bourbon, roi de Navarre (père du futur roi Henri IV). Le jeune prince, qui est portraituré à l'occasion de son mariage avec Jeanne d'Albret, porte une longue barbe à deux pointes. Dix ans plus tard, devenu à la mort de son beau-père, roi de Navarre, il porte une barbe taillée et ronde.

Antoine de Bourbon

 

Années 1580 /1600

Henri IV, roi de France. L'image d'Henri IV avec sa barbe ronde nous est familière. Pourtant, le roi ne l'a pas toujours portée. Ses premiers portraits le représentent à vingt ans, imberbe. Puis, plus tard, les images qui le montrent à trente ans, le présente avec un petit bouc pointu. A quarante ans, devenu roi de France, sa barbe s'est allongée et agrandie, suivant en cela la vogue des longues barbiches. Dix ans plus tard, sa barbe est taillée en rond.

Henri

 

Années 1600 /1620

Roger de Saint-Lary, duc de Bellegarde (ancien mignon d'Henri III). Sous le règne d'Henri IV, ce grand courtisan de la cour de France porte, à trente ans passés, la barbe ronde caractéristique de cette époque. Vingt ans plus tard, la mode a changé ; il porte le bouc en forme de dard.

Duc de Bellegrade

 

Années 1620 /1630

Armand du Plessis, cardinal de Richelieu. A son entrée au conseil du roi (1624), le jeune cardinal porte le long bouc pointu en forme de dard caractéristique de cette époque. Dix ans plus tard, le dard s'est raccourci. Ce n'est plus qu'une barbiche pointue jointe sur le dessus par une mouche. L'ensemble est parfois appelé barbiche royale. La moustache est relevée en pointe sur les extrémités.

le cardinal de richelieu

 

Années 1630 /1650

Pierre Séguier, chancelier de France. La succession des portraits de ce grand magistrat illustre assez bien la disparition progressive de la barbe au milieu du XVIIe siècle. Au moment de sa nomination comme chancelier par le roi Louis XIII (1635), Pierre Séguier porte encore le bouc pointu. Dix ans plus tard, sa barbe s'est réduite à une ligne verticale de poils qui part de la lèvre inférieure jusqu'au centre du menton. Dix ans plus tard, il ne porte plus qu'une mouche, sorte de petite touffe de poils placée sous la lèvre inférieure.

Seguier

 

Années 1660 /1700

Louis XIV, roi de France. Le roi porte dans les années 1670 une moustache en croc qui disparait dans les années 1690. Au XVIIIe siècle, l'aristocrate est complètement rasé. 

Louis XIV

 

 


 

Notes

1. Jean Marie Le Gall, Barbes et moustaches, XVe-XVIIIe siècle, publiée chez Payot en 2011, p. 30.

31 août 2012

La mode de 1550 à 1610 - version fraisée


Je vous livre aujourd'hui la version fraisée du diaporama sur la mode 1550-1610. Comme pour le précédent, j'en ferai un article pour présenter les différentes images qui le composent.

Il est possible que je reprenne dans les semaines à venir l'ensemble des articles sur la fraise, afin de les mettre à jour et d'améliorer leur présentation.

 

 

J'en profite pour signaler que j'ai renouvelé l'image présentant les trois différents types de vertugadin (ci-dessous).

Les 3 types de vertugadin

12 novembre 2019

Col et rabat - XVIIe siècle - Partie 2

Les années 1650

 

En France

 

La mode du col étroit atteint son apogée au milieu du siècle. Face au souvenir des grands rabats de dentelle, elle s'impose pendant plusieurs années entre 1648 et 1652 environ (illustration ci-dessous de portraits peints vers 1650).

Rabat-1650v3

Il était logique qu'une fois atteint son faîte, la tendance bascula dans l'effet inverse. Dans le courant des années 1650, elle passe d'une dynamique de rétraction, à un mouvement d'extension. Le rabat s'étend de nouveau vers les épaules. Quand le basculement s'opère vers 1652-1653, vingt ans se sont écoulés depuis le naissance du grand rabat. Ici encore, il s'agit d'une réminescence cyclique.

gaston_orleans_v6Le rabat refait donc son apparition mais celui des années cinquante possède au moins deux caractéristiques qui permettent de le distinguer de celui des années trente. 

Premièrement, le rabat ne présente plus de dents pointues ou de bords lobés ; à peine le bord est-il arrondi, mais avec le temps, la coupe finit par devenir droite (images ci-contre, juxtaposition de deux portraits de Gaston d'Orléans, sans date, dont le deuxième est réactualisé et mis à la mode du jour).

Deuxièmement, le développement du rabat se fait autant sur la poitrine que sur les épaules. Contrairement au rabat des années 1630, celui des années 1650 présente une silhouette qui n'est pas ou peu rectangulaire mais plutôt carrée.

Les trois galeries de portraits ci-dessous illustrent l'extention progressive du rabat dans les années 1650. Vers 1652-1655, les bords du rabat reposent à plat sur les clavicules (première ligne de portraits). Dans les années 1655-1658, sa taille double de volume (deuxième ligne de portraits). Dans les dernières années de la décennie, vers 1658-1660, il finit par s'étaler sur toute la longueur des épaules et à taille égale, sur le haut de la poitrine (troisième ligne de portraits).

France, 1650-1655

 

France_1655-1658France, 1657-1660

Ce mouvement d'extension se vérifie dans le col de linge blanc que portent les hommes de robe et de science (galeries de portraits ci-dessous).

rabat_blanc_1650-1655dfdf

rabat_blanc_1655-1659

 

 

 Aux Provinces-Unies

 

Le mouvement d'extension du rabat se distingue aux Pays-Bas par une ligne encore très horizontale. Le rabat s'étend moins sur la poitrine que vers les épaules. 

Au début de la décennie, le col se présente étroit et rabattu contre le cou (première ligne de portraits ci-dessous). A partir des années 1653-1654, il commence à s'étaler sur les épaules, doublant les dimensions de sa surface (deuxième ligne de portraits ci-dessous). Au milieu des années 1650, il continue de s'étendre horizontalement, tout en avançant sur la poitrine lui conférant une ligne bien particulière qui le distingue du rabat des années 1640 (troisième ligne de portraits ci-dessous). De 1655 à 1659, il s'étend à raison de un à deux centimètres par an (quatrième et cinquième ligne de portraits ci-dessous), dans une forme qui atteint son apogée autour de 1660.

Pays-Bas circa 1650

 

 

Pays-Bas, circa 1653-1654

Pays-Bas, circa 1655Pays-Bas, circa 1656-1657

 

Pays-Bas, circa 1658-1659

 

 

Les années 1660

 

 En France

 

Les années soixante constituent l'apogée du rabat du point de vue de la taille et son point d'orgue en tant que tendance. Comme pour les années 1650, l'évolution de la forme est rapide, et présente chaque année un aspect différent. Son évolution se tient à deux caratéristiques : son passage à une forme verticale et dans la seconde moitié de la décennie, son rétrécissement en taille.

Nobles

France, circa 1661-1664

France, circa 1660-1665

 

 

 

France, circa 1665

 

France, circa 1664-1667

 

Magistrats et officiers de justice

Le rabat s'étend sur la poitrine de façon plus sobre et en décalage temporel avec la mode nobiliaire. La seconde moitié de la décennie est marquée par la ligne verticale (deuxième ligne de portraits ci-dessous).

Magistrat 1660-1665Magistrat 1665-1670

 Hommes de lettres et de sciences

Sont concernés des professeurs, des précepteurs, des astronomes, des mathématiciens, ou des gens de lettres. Les portraits sont rangés selon un ordre qui permet de faire émerger la suite évolutive de la ligne. Ce classement se fait independemment de l'ordre chronologique des portraits qui ne sont pas datés pour la plupart.

Hommes de Lettres 1660-1665Hommes de Lettres circa 1665Hommes de Lettres 1665-1670

Officiers militaires (France-Pays-Bas espagnols circa 1655-1665)

Si la cravate est l'accessoire emblématique de l'habillement militaire, le rabat continue d'être porté dans l'armée. Sa ligne suit l'évolution de la tendance, mais contrairement aux officiers de la grande aristocratie, il est représenté à plat. Ici aussi, les portraits sont rangés dans un ordre qui suit la chronologie de la tendance (par la ligne de leur rabat, les deux premiers portraits appartiennent à la mode de la deuxième moitié des années 1650).

 Officiers militaires, circa 1655-1665

Hommes d'Église 

Les hommes de Dieu ne portent pas de rabat aussi développé que celui des grands magistrats. Leur taille est beaucoup plus modeste (du moins tels qu'ils sont globalement représentés en portrait, certains arborant un rabat plus mondain que d'autres). A cause de la diversité du paysage clérical catholique, une grande variété de formes coexistent. Celle qui nous intéresse dans cet article est celle affichée par les prélats français. Sous l'influence de la mode, leur rabat suit la tendance à l'allongement sur la potirine et adopte cette particularité de la silhouette en pointe qui caractérise le milieu de la décennie. A la fin des années 1660, son développement se stabilise dans une forme rectangulaire qui est appelée à durer.

Prélats 1660-1669

 

 

Aux Provinces-Unies

 

L'accroissement spectaculaire de la production de portraits qui caractérise l'art hollandais au milieu du siècle permet de suivre la tendance à l'année près et d'observer son acmé autour de l'année 1662 (deuxième ligne de portraits ci-dessous).

Au commencement de la décennie, le rabat a encore une ligne très horizontale (première ligne de portraits ci-dessous), puis, dans le courant des années 1663 à 1665, il se réduit en largeur et adopte une ligne verticale (troisième ligne de portraits ci-dessous). Le tournant s'opère vers 1661-1662 quand le rabat recouvre les épaules et la poitrine à égale distance. Il a alors atteint son acmé.

Le rabat se présente tantôt plat, tantôt en jabot dans une forme ondulée qui forme comme deux tuyaux au milieu de la poitrine. Cet effet en jabot est amplifié par le passage du rabat en ligne verticale. Cet étalement sur la poitrine atteint son apogée vers 1665. Dans la seconde moitié de la décennie, le rabat ne repose plus sur les épaules. Il continue de se réduire, d'abord en largeur, puis en hauteur. A la fin de la décennie, il est presque aussi court que la cravate (cinquième ligne de portraits ci-dessous).

Pays-Bas, 1659-1660

Pays-Bas, 1661-1662

Pays-Bas, 1663-1665

Pays-bas, 1666-1667

Pays-Bas, 1668-1669

Le rabat blanc présente la même évolution : passage d'un format horizontal à un format vertical, passage d'un grand format couvrant une grande partie du buste à un petit format.

Rabat-blanc_1663-1665Rabat-blanc_1665-1669

 

 

Les années 1670

 

Durant les années 1660, le col est progressivement remplacé par la cravate. Le rabat est désormais relégué aux habits de fonction des ministres, magistrats et hommes d'église.

annees_1670

 

Les années 1680

 

Cravate 1680

 

 

Épilogue

 

Abandonné par la mode courante, le rabat devient un attribut professionnel. A la fin du Grand siècle, il continue d'être porté par les hommes de loi, magistrats et avocats. Dans le milieu des grands officiers, il adopte une forme standard qui demeure fixe pendant plusieurs décennies (première ligne de portraits ci-dessous). Sa taille ostentatoire permet de le distinguer de celui plus sobre des prêtres.

Le rabat demeure la pièce centrale du costume des hommes de loi pendant tout le XVIIIe siècle (deuxième ligne de portraits ci-dessous).

Magitrats français

Magistrat 1690-1710Magistrat 18e siècle

 

 

 

 

 

 

Prêtres français

Pretres 18e siècle

14 juin 2011

Concernant les courriels.

Lectrices, lecteurs, visiteuses et visiteurs,

Plusieurs d'entre vous m'ont laissé des messages par mail auxquels je n'ai pu répondre (contactez l'auteur). Un problème inhérent à canalblog fait que je n'obtiens pas toujours des adresses mails correctes. Je vous prie de m'en excusez. Le meilleur moyen pour que je puisse vous répondre, serait que vous m'indiquiez dans le corps de vos messages votre adresse mail.  

J'en profite au passage pour vous remercier de votre interêt pour mon blog.

Bien à vous.

;)

Andelot

Ps : en cas de réel problème pour vous joindre, je peux toujours donner les informations demandées (quand il s'agit de cela) en commentaire dans les articles correspondants.

13 décembre 2008

Présentation du blog Vu la fréquentation

Présentation du blog

Vu la fréquentation croissante de ce blog, je me vois dans l'obligation de présenter un peu plus le projet que je propose de réaliser. 

Mon dessein est de créer un instrument de repère iconographique qui permette de retracer l'évolution du costume sous l'Ancien Régime. J'entends le faire avec un maximum de rigueur scientifique et pour cela, je n'utilise que des images d'époque et dans la mesure du possible datées.

Historien de formation, et passionné (au-delà du raisonnable), je porte un très grand intérêt pour tout ce qui porte à la reconstitution historique ; cinéma (Le Guépard, Le roi danse, Kingdom of Heaven et les vieilleries du genre Le Capitan, Angélique, etc.), téléfilms (Les rois maudits avec Jean Piat, Le comte de Monte Christo, Elizabeth I avec H. Mirren, etc.), bande dessinée (Histoire de France en bande dessinée, Les sept vies de l'Epervier, Ballade au bout du monde, etc..), arts et spectacles de toute facture (son et lumière, défilés, etc.).

Il est évidemment qu'aucune de ces représentations historiques ne sauraient représenter avec fidélité le monde des sociétés passées. D'une part, la création artistique est, de par nature, incompatible avec la science historique (pourtant ces "oeuvres" sont bien les meilleurs moyens pour nous d'accèder à ce monde du passé). D'autre part, il manque encore aujourd'hui des ouvrages de référence sur les questions de mode en particulier pour le XVIe siècle et pour la France.

Mon intention est sans prétention. Je n'ai aucune formation dans le domaine de la mode. Les commentaires et les critiques des spécialistes et des non spécialistes sont donc la bienvenue.

 

Enfin, je vous recommanderais de ne pas commercialiser les images présentées sur le blog. Je les moi-même toutes prises sur la toile.   

4 décembre 2011

Première partie du montage vidéo


Ayé, je vous livre la première partie du montage photo-vidéo sur lequel je travaille depuis quelques mois. Il concerne uniquement les décennies 1550, 1560 et 1570. Les trois suivantes viendront ultérieurement (à savoir les décennies 1580 à 1600).

Evidemment, j'attends beaucoup de vos remarques. La vidéo est fort critiquable. Elle ne dure que 45 secondes et force est de constater que je ne suis pas un expert en montage-vidéo. Comme j'utilise le logiciel le plus basique, les effets sont assez limités. Vos critiques seront donc la bienvenue. Elles me permettront de corriger la vidéo au moment où j'intégrerai les images des trois décennies suivantes. Si vous trouvez que les images ne vont pas à la bonne vitesse, que les légendes sont insuffisantes, etc..., laissez moi un commentaire.

Vidéo supprimée le 22 janvier 2012

22 janvier 2012

La mode de 1550 à 1610


Je suis heureux de vous livrer enfin le résultat du travail sur lequel je suis depuis septembre 2011.

Il s'agit d'une vidéo présentant une évolution de la mode depuis le milieu du XVIe siècle jusqu'à la première décennie du XVIIe. Elle couvre toute la période des guerres de religion depuis le règne de Henri II à celui de Henri IV.

Elle est exclusivement consacrée à la mode de la cour de France et plus particulièrement à la mode du décolleté (qui en est d'ailleurs l'une de ses caractéristiques).

Même si je me défends et m'interdis d'admirer un mode de vie ancestral qui n'est pas le mien, je dois reconnaître qu'à travers cette vidéo je ne suis pas sans chercher à faire revivre le souvenir des dames illustres de cette époque ; Catherine de Médicis, Marguerite de Valois, Louise de Lorraine, Gabrielle d'Estrées et Marie de Médicis ont tenu une cour de dames et de demoiselles qui n'avait pas d'égal.

Mon travail a été conduit par plusieurs principes :

- respecter la mode à un instant donné avec autant de précision qu'il est possible. La mode est présentée par année. Les métamorphoses interviennent principalement sur la coiffure et la collerette. Le reste du costume, robe, manches et accessoires (couvre-chef, collier, etc.. ) sont modifiés par tranche d'années en vertu de limites chronologiques qui n'ont rien d'immuable. Je ne propose de fixer des clichés que sur la coiffure et la collerette. Les accessoires apparaissent et disparaissent independemment d'une quelconque mode annuelle. Par exemple, si j'ai présenté la jeune femme de l'année 1570 en train de porter une toque haute, j'aurais très bien pu utiliser cette même toque pour l'année 1575.

- donner un maximum de fluidité à la vidéo. Dans un souci de clarté, je devais créer une suite logique d'images qui évitât autant que possible les ruptures visuelles. Pour cette raison, j'ai du faire un choix arbitraire entre la fraise et le décolleté (exit donc la fraise).

Je reviendrai prochainement pour expliquer les images de la vidéo. Des difficultés propres au manque de documentation et à la diversité de la mode m'ont amené à faire des choix qui méritent d'être justifiés. Je le ferai dans un prochain article.

Je prévois également de donner une suite à ce travail. Je compte, par exemple, donner une version "fraisée" de la vidéo. En principe, ça ne devrait pas être trop long à réaliser, si je ne fais que reprendre les costumes du présent montage. Quant à faire une présentation de la mode qui aille de 1610 à 1670, cela me semble être dans la logique de mon projet, mais je ne pense pas m'y mettre avant 2013.

11 avril 2021

Sources :


Recueil de modes

 

  • Idem (édition de 1567, Bibliothèque nationale de France, Gallica).
  • Habits de France (recueil de dessin, vers 1581-1587, Bibliothèque nationale de France, Gallica).

 

 Récits illustrés de l'exploration de l'Amérique.

 

Traités d'escrime

 

Processions

 

 

14 juillet 2012

La mode en Fraise


vers 1560Comme je l'avais annoncé, je prépare une nouvelle vidéo sur la mode du second XVIe siècle. Après le costume en décolleté, ce sera le costume en fraise.

Voici quelques images. Elles concernent les années :

1560   

1570 - 1575 

1580 - 1585

1590     

1600

 

 

vers 1570vers 1575

vers 1580vers 1585

vers 1590vers 1600

 

 

30 août 2009

La coiffure des dames de 1500 à 1550

La coiffure des dames de 1500 à 1550

Coiffure des dames de  1500 à 1550

11 novembre 2008

La coiffure féminine

La coiffure féminine

Galerie_1550_1600

Galerie_1600_1650

Galerie_1650_1700

16 novembre 2008

La coiffure des dames de 1600 à 1650


evolution_de_la_coiffure_1600_1650

16 novembre 2008

La coiffure des dames de 1500 à 1600


Evolution de la coiffure de 1500 à 1550

Evolution de la coiffure de 1550 à 1600

19 février 2024

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En raison d'une migration de Canalblog sur les serveurs d'Overblog, ce site est provisoirement en chantier.

L'opération de migration a commencé en janvier. Il se poursuit toujours.

Les articles restent en ligne, mais l'affichage est inopérant pour l'instant. 

Je vous remercie de votre attention et de votre patience.

Andelot

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